Ensemble d'Accordéon de Vendenheim
Ensemble d'Accordéon de Vendenheim

      Composition du Comité de l'EAV

Le Comité de l'Ensemble d'Accordéon de Vendenheim compte actuellement 10 membres bénévoles : 

 

Présidente : Nathalie PFRIMMER

Vice - Présidente : Muriel LOUAZEL

 

Directeur : Patrice SONNTAG

 

Secrétaire : Cathia ISNARD

Secrétaire adjointeCorinne DIEBOLT

 

Trésorière : Muriel LOUAZEL

Trésorière adjointe : Morgane HUCKEL

 

Administrateur du site : Kathy WEIGEL

 

AssesseursPhilippe MAECHLING

                  Marion PFRIMMER

                   Amandine LOUAZEL

 

 

Les membres du Comité se réunissent à Vendenheim une fois par mois au Diapason.

Les débats portent sur les différents points de l'ordre du jour établi par la Présidente de l'EAV et envoyé à chaque membre avant la réunion. 

Il appartient aux membres de communiquer avec la Présidente pour lui soumettre les points qu'ils aimeraient voir aborder.

Les réunions durent environ 2 heures, parfois plus en fonction du ou des évènements  à organiser.  

Un compte rendu, éventuellement un tableau de la répartition des tâches sont adressés à chaque membre du Comité à l'issue de la réunion. 

Ensemble d'Accordéon de Vendenheim
6 Rue du Matterberg

67550 VENDENHEIM

 

Tel : 03 88 69 36 89

Mail: contact@eav1960.fr

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L'histoire de l'accordéon....en quelques mots.

L’accordéon est né à Vienne en 1829. C’est un enfant du Romantisme. Il fut le jouet des dames dans les salons bourgeois : son pouvoir expressif y fit fureur d’emblée. Ensuite, doté d’un second clavier pour la main gauche, il ne tarda pas à descendre dans la rue, puis à pénétrer jusqu’au fond des campagnes.

Sa popularité, dès la fin du XIXè siècle, fut immense. Son industrie battit tous les records. On en exporta des bateaux entiers vers l’Amérique.

Dans le Paris de 1900, il est le roi du genre « musette ». Il mène le bal dans le monde entier, séduit les chansonnier, son charme inspire les poètes.

Cependant, le dispositif qui a fait son succès - les accords fixes d’accompagnement -  malgré les perfectionnements les plus ingénieux, l’empêchent longtemps d’accéder à la « grande » musique, jusqu’au jour, relativement récent, où la possibilité de renoncer aux accords préparés ou même leur suppression pure et simple, permet d’aborder tous les genres d’écriture musicale

Impossible de parler de l'accordéon en France sans évoquer ce genre qui fit autant pour sa gloire que pour sa mauvaise réputation : le MUSETTE. Une musique adulée par les uns, méprisée par les autres, et qui pourtant auprès des étrangers est synonyme de Paris, de fête, bref de la "french way of life".

Pierre Monichon en parle fort bien dans son ouvrage L'Accordéon :

"Dans le monde de l'accordéon, inévitablement, le musette appelle l'idée de danse et entraîne l'imagination vers les guinguettes, les salles de bal où les couples tournent au son d'un petit orchestre. De nos jours le mot évoque aussi tout un pan de "la Belle Epoque", son insouciance, son air de liberté ...

Il se pourrait fort bien d'ailleurs que le musette ait exprimé une certaine liberté pour toute une clientèle bourgeoise, venant oublier dans l'arrière-cour d'un café les contraintes d'une façon de vivre où la raison l'emportait sur le coeur."

www.victorseraphine.com/histoire